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OCCIDENTAL de J.M. Synge 1998-2001
ARCHIVES : LA PRESSE DE QUELQUES SPECTACLES ANTÉRIEURS
LE BALADIN DU MONDE
Anne Le Guernec et Nils Ohlund, 2001
"Un petit miracle. (…) Il y a, dans ce travail humble et précaire, toute l’authenticité, toute la poésie d’un théâtre qui ose rompre avec le faste, la poudre aux yeux, le costume, et qui sollicite l’imagination du spectateur.(…) Je n’ai pas vu meilleure interprétation de la pièce de Synge depuis belle lurette." Frédéric Ferney, Le Figaro
"…Guy Pierre Couleau signe une mise en scène tonique, racée, sans autre luxe que l’interprétation vive, drue (…). Les comédiens (…) d’un simple rond de planches, font un cercle enchanté." Leonardini, L’Humanité
"(…) c’est la traduction de Françoise Morvan qu’à choisie le metteur en scène Guy-Pierre Couleau et c’est un plaisir d’entendre la richesse d’une langue truffée d’expressions bretonnantes et pourtant très littéraires.(…) Simplement mise en scène sur un plancher circulaire et nu, l’histoire impose son charme…" René Solis, Libération
"Alors qu’un grand nombre de metteurs en scène de fière réputation s’y sont cassé les dents, Guy-Pierre Couleau arrive, avec des moyens réduits, à en faire jaillir toute la substantifique et poétique moelle." Joshka Schidlow, Télérama
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de Frank Mac Guinness. 2001-2003
marchant vers la Somme »
« Asservies » de Sue Glover
LE SEL DE LA TERRE :
et « Regarde les Fils de l’Ulster
"(…) Avec sa mise en scène à la beauté d’une chorégraphie, son rejet du naturalisme, la remarquable interprétation quasi chorale, son théâtre rejoint la poésie." Annie Chénieux, Le Journal du Dimanche
" Le plus remarquable dans ce spectacle est la maîtrise avec laquelle Guy-Pierre Couleau occupe l’espace, la circulation, les mouvements de groupes, la vivacité ou le ralenti d’une action(…) c’est presque une chorégraphie dont il résulte quelque chose de sensible, de poétique, d’émouvant. (…) On sort de la salle remué, ce n’était pas qu’un spectacle attachant, bien mené. C’était à méditer." Raymonde Temkine, Revue Europe
"Un grand salut aux acteurs et à Guy-Pierre Couleau dont la mise en scène passionnante, réjouissante et généreuse, avec ses intermèdes de silence et de danse, réconcilierait avec le théâtre tous ceux qui ont peur de s’y ennuyer."
Martine Picard, Le Dauphiné Libéré
"C’est l’une des plus belles œuvres jouées à Avignon cet été. Le metteur en scène, Guy-Pierre Couleau, et plusieurs de ces camarades du Conservatoire de Paris ont réalisé cela à Niort. On sait travailler, en Poitou-Charentes." Michel Cournot, Le Monde
Asservies de Sue Glover, Vanessa Koutseff et Katia Mayen, 2002
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France Péjot. 2003
Missak Manouchian, Jean Moulin,
Marianne Cohn, Bernard Courtault,
de Olga Bancic, Jean Cassou, René Char,
RÉSISTER d’après des textes
Annie Kriegel, Lise Lesèvre,
Anne Le Guernec, Antoine Régent et Nils Ohlund, 2003
"Ce spectacle intelligent et sensible constitue un hommage respectueux et audacieux à l’esprit de résistance et à ceux qui osèrent y sacrifier leur vie dans l’insouciance vertueuse qu’offre l’adhésion aux valeurs les plus hautes. Un beau travail à ne pas manquer." Claude Sergent, Théâtre Online
"Un montage de textes émanant de la résistance. De grandes voix ou des voix plus modestes. Célébration sans emphase du courage, de l’opposition à l’inacceptable, de l’engagement, de la lucidité (…). Une pédagogie qui n’interdit pas le sens du jeu théâtral. Un beau moment.(…). Les trois acteurs ont en partage une élégance discrète, une sensibilité communicative." Armelle Heliot, Le Quotidien du Médecin
"Guy-Pierre Couleau propose avec Résister, un montage de textes, «des impressions de la résistance ». Des témoins (…) Trois acteurs d’une trentaine d’année (…) les incarnent à tour de rôle et ravivent le je-ne-sais-quoi de noble lié au soi, à sa dignité, et qui heurté, origine la révolte puis la pensée (…). L’engagement théâtral rejoint à sa source ce qui en chacun récalcitre à vivre à n’importe quel prix et qui poussa des jeunes gens au martyr(…)." Mari-Mai Corbel, Mouvement
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2003-2004
LA FORÊT d’Alexandre Ostrovski
Pascal Durozier et Philippe Mercier - 2004
"Dans un décor très simple et inventif, tout est dit, l’obscurantisme des uns, la dissimulation des autres, la fantaisie inspirée de certains qui, avec un nez rouge et un cœur en or, sauvent l’humanité du désastre. On sort de là heureux." Marion Thébaud, Le Figaroscope
"Guy-Pierre Couleau ordonne sa mise en scène sur un simple plan incliné ou trône un canapé rococo(…). Le duo d’Infortunatov et de Fortunatov, le malchanceux et son compagnon comédien aux allures d’Arlequin, est réglé avec brio et colore de gaité cette œuvre noire." Danielle Dumas, L’avant-scène Théâtre
"Oubliez l’image de la romantique forêt russe. Dans l’excellente mise en scène de Guy-Pierre Couleau, les billets de banque jonchent le sol et la vodka coule à flots.(…). Les 11 comédiens de cette pièce mériteraient tous d’être cités (…) tous apportent de leur folie et de leur profondeur pour composer un tableau détonnant. Et servir cette pièce superbe fondatrice du théâtre populaire russe." L’Express, Le magazine
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de Sue Glover 2004
Nolwenn Korbell, 2004
"La mise en scène de Guy-Pierre Couleau, impeccable et précise, s’appuie sur le talent des 4 comédiens, remarquables de justesse dans la drôlerie comme dans l’émotion. Et si Philippe Mercier est très bon, si Nolwenn Korbell et Anne Le Guernec sont excellentes, Isabelle Lafon, bouleversante en Lady Rachel (…), est absolument magnifique." Robert, La Terrasse
"(…) on saluera ce beau travail – un de plus de la part de Guy-Pierre Couleau- sur un texte très original, sombre et lumineux à la fois, très bien mis en scène, très bien joué." Armelle Héliot, Le Figaro
"La mise en scène de Guy-Pierre Couleau nous saisit. Il règne sur scène une ambiance particulière, entre tension et malaise, qui donne à frissonner. Les rideaux blancs virevoltent, le sable noir crisse, les personnages se heurtent avec violence. Quatre comédiens formidables.(…) Un vent de fraîcheur, une magnifique ouverture au monde" Lise de Rocquigny, Pariscope
"Un théâtre de tempête. C’est fort et sombre comme la roche. Guy-Pierre Couleau a adapté et mis en scène ce texte avec un soin et une exigence remarquable. Il en fait une chorégraphie très inspirée, sobre et intense à la fois." Philippe Tesson, Le Figaro Magazine
LA CHAISE DE PAILLE
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GEORGE DANDIN de Molière 2005
"Nourri au lait du contemporain, Guy-Pierre Couleau se tire avec brio de sa première confrontation avec le répertoire classique.(…) On lui saura gré d’avoir transpercé son élégante et sensuelle mise en scène d’éclairs de folie qui ajoutent à la fantaisie originelle." Marc Dejean, Ouest France
"La mise en scène subtile nous fait plaindre à la fois le pauvre paysan de mari fait cocu par une femme de la noblesse, et la pauvre épouse qui a été mariée sans son consentement (…). La cruauté et la farce n’empêchent pas le rire, et la commedia dell’arte revient là où on ne l’attendait pas, dans ce décor très moderne et épuré." La Nouvelle République
"Ce qu’il y a de remarquable chez Molière, qui a eu son lot de déceptions amoureuses, c’est cette manière jubilatoire de traiter le désespoir. Celui de Dandin, berné pathétique. Mais aussi celui d’Angélique, soumise au pouvoir d’un père. (…) C’est ce que le metteur en scène et les acteurs ont très bien compris et mieux encore, traduisent avec brio." M. Eller, Angers Poche
Pierre-Stéphan Montagnier, Nils Ohlund et Anne Suarez, 2005
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RÊVES de Wajdi Mouawad 2006
Anne Le Guernec, 2006
"(…) Guy-Pierre Couleau, qui met en scène des comédiens émouvants et élégants, au jeu fluide qui parvient à équilibrer économie dramatique et délire bachique, en propose une lecture rythmée et haletante qui rend parfaitement compte de la fièvre créatrice, sans doute parce qu’il a su incarner sur le plateau les affres mystérieuses de la révélation du sacré." Catherine Robert, La Terrasse
"Une pièce étonnante à tous égards, mise en scène avec hardiesse par Guy-Pierre Couleau..(…) Une aventure dramatique inédite." Le Parisien
"l’auteur mêle tous les fils et nous sommes impressionnés par son art, sa puissance à interroger ses racines, enterrer son père, remuer la mémoire d’un peuple en guerre. Que tout ceci devienne écriture, personnages, théâtre, c’est l’enjeu de cette pièce qui tente de décortiquer l’envers d’une création. (…) Guy-Pierre Couleau, par une scénographie simple de Laurianne Scimemi, des lumières précises de Laurent Schneegans, éclaire au mieux ces jeux de l’esprit." Marion Thébaud, Le Figaro